Nous voilà partis tous les 4 pour une visite express de la ville.
Je commence par acheter une carte SIM et du crédit téléphone pour pouvoir joindre Caro, et éventuellement des campings quand on prendra la route. La carte SIM coute 2$ et je paie 30$ pour avoir l'équivalent de 150$ de crédit (environ 2 heures de communication). Ca me fait penser qu'en France, Bouygues, SFR et Orange mériteraient un peu de concurrence... Je profite d'une visite de l'Apple Store pour activer ma carte SIM sur le Net : il y a des dizaines de Mac à disposition et on peut y toucher autant qu'on veut. Il y a des gens qui font leur CV, d'autre qui surfent sur le net ou qui lisent leur mails. C'est un peu comme à la FNAC, où on peut venir lire des BDs pendant des heures et repartir sans rien acheter ;-)
Anaik et Sandy s'éclatent sur l'escalier de verrre de l'Apple StorePremière étape, l'opéra, bien sûr.
(pour en savoir plus sur la présence de ce pingouin vert dans la main de Caroline : http://reisbox.com/)
J'ai déjà dit qu'il faisait chaud là-bas ? Alors après ça, une petit pause s'impose.
C'est pas tout ça, mais on commence à avoir faim, et nos amis nous ont parlé du Burger King australien : Hungry Jack's, sans doute une filiale car on y retrouve les fameux Wooper et Double Wooper, ainsi que l'Ultimate Double Wooper ! Petite spécificité : le Aussie Burger, avec une tranche de betterave. Allez savoir pourquoi, les Australiens en mettent partout. A priori, c'est un légume pour lequel je n'ai pas beaucoup de considération, mais dans un burger, ca passe tout seul !
C'est pas tout ça, mais on commence à avoir faim, et nos amis nous ont parlé du Burger King australien : Hungry Jack's, sans doute une filiale car on y retrouve les fameux Wooper et Double Wooper, ainsi que l'Ultimate Double Wooper ! Petite spécificité : le Aussie Burger, avec une tranche de betterave. Allez savoir pourquoi, les Australiens en mettent partout. A priori, c'est un légume pour lequel je n'ai pas beaucoup de considération, mais dans un burger, ca passe tout seul !
Le temps commence à s'assombrir et on se souvient des prévisions météo pluvieuses pour la journée. On décide donc de faire la visite combo : Wildlife World (un zoo), + Aquarium de Sydney, et on abandonne Caro et Sandy qui, ca va merci, ont déjà eu l'occase de les visiter. Et pendant qu'une bonne pluie s'abat sur la ville, on est bien au chaud à regarder les dugongs, les koalas, les kangourous et les poissons multicolores. On espère bien qu'on aura l'occasion de voir chacune de ces petites bêtes autrement qu'en captivité au cours de notre voyage, et globalement on ne sera pas déçus (bon, pas de dugong malheureusement...).
Il a l'air en plastique mais c'est un vrai
Quand on sort, il est l'heure d'aller prendre l'apéro dans un bar, l'Orbit, plutôt hype, mais qui a l'indéniable avantage d'être au 47e étage d'un immeuble cylindrique et de tourner sur lui même, nous offrant une vue imprenable sur Sydney by night. Hé oui, c'est l'automne ici, la nuit tombe avant 18h. Au moment de partir, la pluie n'avait pas cessé, après 30min de marche, malgré les KWay et parapluies, on était tous à essorer.
Caro&Sandy avaient réservé dans un restaurant ce soir-là, le Churrasco. Avis aux amateurs de viande qui passent par Sydney ! On avait lu que les australiens étaient les roi du BBQ, on en a eu confirmation. Le concept du repas, c'est viande grillée à volonté : des serveurs passent toutes les 5 minutes pour nous proposer des petits morceaux d'un type de viande (boeuf, poulet mariné, agneau, porc, et même ananas et courgettes grillés), sans arrêt, jusqu'à ce qu'on dise non. Et c'est difficile d'être raisonnable ! En comptant les 2 bouteilles de vin indispensables pour faire passer tout ça, on en a eu pour 50$ par tête... On a réalisé qu'on allait passer des vacances à se péter le bide pour un budget minime.
C'est quoi le rapport avec le Jet lag ? Ca vient !
C'est-à-dire qu'après ce bon repas, on est rentrés pour un bon dodo. La veille, je m'étais épatée à subir aussi facilement les 8 heures de décalage horaire, et c'est en toute confiance que je me suis endormie, le ventre plein, pour une bonne grosse nuit qui a pris fin à... 2h30 du matin (maudite envie de pisser !). Je n'ai pas franchement l'habitude des insomnies, alors le temps est passé très lentement pour moi, jusqu'à ce que je réveille Michel, vers 6h, n'en pouvant plus de tourner en rond dans le noir. Je ne vous cache pas qu'il a apprécié, lui qui dormait si profondément...
Il a l'air en plastique mais c'est un vrai
Quand on sort, il est l'heure d'aller prendre l'apéro dans un bar, l'Orbit, plutôt hype, mais qui a l'indéniable avantage d'être au 47e étage d'un immeuble cylindrique et de tourner sur lui même, nous offrant une vue imprenable sur Sydney by night. Hé oui, c'est l'automne ici, la nuit tombe avant 18h. Au moment de partir, la pluie n'avait pas cessé, après 30min de marche, malgré les KWay et parapluies, on était tous à essorer.
Caro&Sandy avaient réservé dans un restaurant ce soir-là, le Churrasco. Avis aux amateurs de viande qui passent par Sydney ! On avait lu que les australiens étaient les roi du BBQ, on en a eu confirmation. Le concept du repas, c'est viande grillée à volonté : des serveurs passent toutes les 5 minutes pour nous proposer des petits morceaux d'un type de viande (boeuf, poulet mariné, agneau, porc, et même ananas et courgettes grillés), sans arrêt, jusqu'à ce qu'on dise non. Et c'est difficile d'être raisonnable ! En comptant les 2 bouteilles de vin indispensables pour faire passer tout ça, on en a eu pour 50$ par tête... On a réalisé qu'on allait passer des vacances à se péter le bide pour un budget minime.
C'est quoi le rapport avec le Jet lag ? Ca vient !
C'est-à-dire qu'après ce bon repas, on est rentrés pour un bon dodo. La veille, je m'étais épatée à subir aussi facilement les 8 heures de décalage horaire, et c'est en toute confiance que je me suis endormie, le ventre plein, pour une bonne grosse nuit qui a pris fin à... 2h30 du matin (maudite envie de pisser !). Je n'ai pas franchement l'habitude des insomnies, alors le temps est passé très lentement pour moi, jusqu'à ce que je réveille Michel, vers 6h, n'en pouvant plus de tourner en rond dans le noir. Je ne vous cache pas qu'il a apprécié, lui qui dormait si profondément...
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